Apnée du sommeil
Alternative à l »intervention chirurgicale
Qu’est-ce que l’apnée du sommeil ?
Le Syndrome d’Apnées Obstructives du Sommeil encore appelé SAOS, est une maladie respiratoire.
Pendant le sommeil, la personne visée subit un rétrécissement de son pharynx lié à un relâchement musculaire.
Une circulation de l »air plus difficile et un ronflement causé par les vibrations de l’air
Dans le cas où les voies aériennes viennent à se fermer entièrement, la personne s »arrête temporairement de respirer. Est déclenchée une apnée obstructive.
Il peut exister un lien entre le SAOS et les maladies suivantes :
- Hypertension
- Maladies cardiovasculaires
- Diabète
Quelle est sa fréquence de survenue ?
La durée de cette apnée peut se maintenir 10 secondes ou plus.
Il peut être fréquent et se produire casino francais bonus jusqu »à plusieurs centaines de fois par nuit.
Le sommeil et sa qualité sont altérés sans que l’individu en ait conscience complètement. Des éveils brefs après chaque apnée se mettent en place dans le processus.
Quelles sont les conséquences ?
Ses conséquences peuvent s »avérer graves sur la santé voire mortelles.
En effet, à chaque apnée, durant toutes les nuits, à la fois le cœur et le cerveau endurent une agression.
La qualité de vie est perturbée, notamment avec une somnolence excessive, une altération de l’humeur, qui peuvent s’installer.
Quelles sont les thérapeutiques envisageables ?
Entre autres :
- La chirurgie.
- Une alternative récente par gouttière nocturne est une alternative intéressante avec des limites d’indications :
Pour lutter contre le ronflement et l »apnée du sommeil, un système de doubles gouttières a été mis en place. Il est question d’un produit dont son efficacité a été testée cliniquement contre le ronflement et l’apnée. Il utilise le principe reconnu médicalement de l »avancement mandibulaire.
Les interlocuteurs médicaux privilégiés sont le médecin ORL, le pneumologue puis le chirurgien-dentiste, le stomatologue pour la réalisation des étapes en bouche, des empreintes et ajustements.
Parlez-en à votre médecin en sachant qu’il n’y a pas à ce jour de solution idéale